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Super-héros : une histoire politique de William Blanc
Divertissement et critique sociale : le super-héros dans la loupe de l’historien Grâce au cinéma, l’ubiquité… Read more
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Petit traité de résilience locale
Vers le monde d’après En vue cavalière, on pourrait accoler aux discours dominants un sentiment… Read more
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J’aime Hydro, de Christine Beaulieu
En novembre 2014, Anabel Soutar, directrice artistique de la compagnie de théâtre documentaire Porte Parole, rencontre sa collègue Christine Beaulieu dans un café montréalais pour lui faire part de sa consternation : Hydro-Québec refuse de participer à une discussion sur la santé des rivières du Québec. Il semble que le sujet soit devenu trop sensible, en raison entre autres du discours des militants de la Fondation Rivières qui remet en doute les barrages hydroélectriques, pour qu’on ose se prononcer publiquement. Pour Anabel, ce silence est à la fois une aberrance et une occasion : il est grand temps de questionner la relation entre les Québécois, maîtres chez eux, et Hydro-Québec. En novembre 2014, dans un café montréalais, Anabel lance à Christine le défi d’engager ce dialogue impossible.
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Aphélie de Mikella Nicol
Troublée par la puissance de son désir pour cette femme, Aphélie réévaluera son existence au cours des semaines suivantes en réalisant que sa relation confortable avec Julien ne la satisfait plus. Lorsque s’ajoute à ces angoisses la disparition d’une personne qu’elle croit avoir aperçue un jour auparavant, la narratrice perd ses repères, jusqu’à ériger en symbole cette jeune femme volatilisée. Dès lors obsédée par les segments du téléjournal qui la concernent, Aphélie en viendra à projeter son propre mal-être sur cette inconnue, en fantasmant sur la liberté que lui procurerait, à elle aussi, une fuite délibérée.