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Mourir de froid, c’est beau, c’est long, c’est délicieux
de Nathalie Plaat (Presses de l’Université de Montréal, 2024) Une chronique de Julie Collin Dans… Read more
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Les femmes musiciennes sont dangereuses
d’Annie Coste (Éditions Flammarion, 2023) Une chronique de Serge Durand Un livre soigné. Un livre… Read more
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Aux aiguilles, citoyennes!
Un texte d’Aline Néron, libraire Une amie m’a récemment offert le livre Tricoteuses et dentellières, publié… Read more
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UN POÈTE CHEZ LES ÉLEVEURS DE PICKUPS
de Michel X Côté (Éditions du Quartz, septembre 2023) Une chronique de Serge Durand La… Read more
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DÉDÉ, par Christian Quesnel : une chronique de Serge Durand
Cette Bd Documentaire vibre, vrille, avive par une aquarelle forte les émotions qui accompagnent les… Read more
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Femme, vie, liberté : Une suggestion de Serge Durand, lecteur engagé
Nous vivons une sombre époque où l’intégrisme religieux prie pour nous faire revenir au temps… Read more
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Le contrat social
« Tous les Blancs sont bénéficiaires du contrat, bien que certains d’entre eux n’en soient pas… Read more
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Meurtres sur la Madison
Ce qu’elle en a pensé Quand Martha Ettinger fait appel à son ami Sean Stranahan,… Read more
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Outresable de Hugh Howey
La plongée de Howey En 2013, un nouvel auteur de science-fiction a fait son apparition… Read more
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La plupart du temps je m’appelle Gabrielle de Stéfani Meunier
Tout en s’apparentant à un récit, le roman de Stéfani Meunier recèle bon nombre de monologues : tour à tour, les personnages de Gabrielle et de Jasmine parlent d’elles-mêmes et de leur passé. À coups de chapitres courts, le roman laisse place aux pensées vagabondes des protagonistes, à des retours sur certains événements du passé et à l’histoire de Jean et de Lougan, laquelle oscille entre le bonheur et le malheur. Toute la beauté du livre de Stéfani Meunier réside dans les parallèles qui existent entre les personnages et leur passé, et qui s’emboîtent pour créer un tout. La jeune fille raconte son enfance, l’histoire de ses »deux » mères et de son père doux et gentil, son refus de quitter le monde de l’enfance à tout jamais, etc. La mère fatiguée narre la vie qu’elle mène avec les jumeaux dysfonctionnels, tout en racontant sa vie d’avant lorsqu’elle habitait sur une île. Le thème du double revient constamment dans le récit, comme si chaque personnage en reflétait un autre.