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André Major et l’impossibilité de déserter
9782764621905 Le Sourire d’Anton ou l’adieu au roman | Les éditions du Boréal Le Sourire… Read more
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À bas la lecture
Dans «À bas la lecture !», on découvre chaque page avec le sourire. La contradiction entre l’objet et son propos est une ruse des créateurs de l’ouvrage qui amuse et provoque immanquablement la curiosité du jeune public au premier regard. Le livre gagnera adroitement le cœur des plus récalcitrants et se laissera savourer par ceux qui sont déjà conquis par le plaisir de lire. Au final, on y découvre la lecture comme quelque chose de stimulant, d’intéressant, de rassembleur et d’essentiel, en évitant les formules stéréotypées ou le ton prescripteur.
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23 avril (JMLDA) : Un rendez-vous à ne pas manquer!
Le 23 avril est une date incontournable dans le monde du livre : c’est la… Read more
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Stephen Aryan : Le nouveau mage de la Fantasy
9782352949367 Mages de Guerre (Âge des ténèbres tome 1) | Éditions : Bragelonne – Le… Read more
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Franchir les murs selon Érika Soucy
Une nouvelle chronique de notre libraire Stéphanie Rouleau sur le premier roman d’Érika Soucy ; Les murailles paru aux Éditions VLB.
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Paul Valéry et la mise en scène de l’Esprit
2070279138 Monsieur Teste | Gallimard 9782070711017 / 9782070714889 Les cahiers | Gallimard 9782070327348 Ego scriptor… Read more
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Lovecraft d’après Houellebecq
À l’âge de 16 ans, Michel Houellebecq découvre le mythe de Cthulu dans lequel est raconté le réveil de créatures puissantes et anciennes qui veulent régner sur le monde. L’adolescent est à la fois fasciné et terrifié. La lecture des nouvelles de Lovecraft est un choc pour lui et laisse l’impression la plus profonde. Plus tard, ces souvenirs de lecture l’inciteront à écrire une biographie sur celui qu’on qualifie de digne successeur d’Edgar Allan Poe.
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David Goudreault et la voie de la violence
« Ma mère se suicidait souvent. » Déjà, on comprend que tout ne peut qu’aller mal pour l’antihéros de La bête à sa mère, le premier et excellent roman de David Goudreault.
En effet, le narrateur annonce, dès le début, qu’il est suspecté du meurtre d’une personne encore non identifiée. Tout le roman sera consacré à sa version des faits, à sa description d’une vie qui aurait difficilement pu mener à autre chose qu’à la violence. -
L’amour dévorant selon Véronique Grenier
« Tu me tues, tu me fais du bien. » Cette phrase de Marguerite Duras, tirée de Hiroshima, mon amour, mérite absolument sa place en exergue du roman Hiroshimoi de Véronique Grenier, paru aux excellentes éditions de Ta Mère.