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François-Xavier Bellamy – Les déshérités : Ou l’urgence de transmettre
Pour l’auteur, l’être humain est culturel par nature. Laissé à lui-même, il demeure inachevé (on pourrait parler du caractère néoténique de la nature de l’homme). La culture ne diffuse non pas un avoir (sous-entendu dans l’expression de « bagage culturel »), mais un être ; elle participe à l’élaboration de l’humanité dans l’homme. Par conséquent, priver un individu de la transmission culturelle revient à empêcher la pleine expansion de son être. Dans ce qu’une certaine doxa conçoit comme une charge contre la singularité de chaque personne, cette transmission représente, pour Bellamy, l’acquisition d’outils pour se nommer. Comment faire des choix si l’on est dépourvu de mots pour s’exprimer, de l’histoire pour se munir d’une perspective et de la connaissance des arts pour informer notre rapport au monde ?
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Quand Bernard Émond revisite un classique de Tchekhov
UNE BANALE HISTOIRE – Anton Tchekhov C’est le rêve de plusieurs d’atteindre la célébrité et… Read more
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Portrait du colonisé / colonisateur, de Albert Memmi
Albert Memmi et son livre, jugé nécessaire par notre libraire David.
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Esthétique du montage, de Vincent Amiel
« Esthétique du montage » de Vincent Amiel est un livre qui ouvre les portes des secrets du montage au cinéma.
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À la recherche du réel perdu, de Alain Badiou
« À la recherche du réel perdu » est un exercice de pensée pour tenter de définir ce qu’est vraiment le réel.
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Le peuple et l’opium, de Nicolas Lévesque
Nicolas Lévesque nous livre « Le peuple et l’opium », un nouvel essai que David vous dévoile ici.
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Le livre du courtisan, de Castiglione
Le livre du courtisan, un incontournable depuis la Renaissance.
COMMENT TIRER PROFIT DE LA LITTÉRATURE GRECQUE – Basile de Césarée
Au contraire, ce sont les passages qui exhortent à la vertu qu’il exige de conserver et de transmettre, les Grecs s’en étant fait une idée proche de la vertu chrétienne. Basile insiste sur les dangers du corps, à l’instar de Platon qui semble à ses yeux, peut-être, le plus incontournable d’entre eux. Bien qu’il fasse l’éloge d’Homère ou d’Hésiode, c’est en effet les textes philosophiques, pour Basile, qui doivent prioritairement retenir notre attention.