Le complexe d’Eden Bellwether, de Benjamin Wood
Titre du livre : Le complexe d’Eden Bellwether | Éditeur : Zulma.
ISBN : 9782843047077.
Eden Bellwether et Benjamin Wood : un succès.
Ce premier roman de l’écrivain britannique Benjamin Wood nous annonce la venue d’un auteur talentueux et prometteur. Dans un style sobre et bien ficelé, Wood nous amène à explorer les zones grises du génie et de la folie.
Ainsi, à travers le personnage d’Oscar Louve, aide-soignant dans une maison de retraite, nous partons à la découverte de jeunes étudiants universitaires huppés et branchés. C’est dans ce milieu estudiantin prestigieux du King’s College de Cambridge, qu’Oscar fera la rencontre – lors d’un concert – d’Iris et Eden Bellwether.
Ce dernier, talentueux joueur d’orgue croyant aux vertus thérapeutiques de la musique pour guérir l’âme et les blessures du corps, fera vivre à son petit groupe d’admirateurs des expériences musicales hors du commun.
Eden Bellwether, convaincu de sa supériorité intellectuelle, arrogant et manipulateur, commettra l’irréparable.
Est-il un génie ou bien, un être dérangé ?
Jusqu’où l’Homme peut-il aller dans ses croyances ?
Benjamin Wood, bravo pour ce roman !
Une chronique du livre Le complexe d’Eden Bellwether proposée par Bruno.
Outre les libraires de la librairie La Liberté, la presse internationale est loin d’être avare en compliments à propos du premier roman de Benjamin Wood… La preuve :
Premier roman de Benjamin Wood, qui s’inscrit avec maestria dans la lignée du Maître des illusions, de Donna Tartt. Le complexe d’Eden Bellwether vient de remporter le Prix du roman FNAC 2014. – Cécile AMARA (La Presse).
D’autres auteurs avant lui ont exploré la proximité entre génie et folie, mais Wood traite cette thématique familière avec une fraîcheur et une intelligence qui laissent présager de grandes choses à venir. – Times literary supplement.
Pour en savoir plus sur ce jeune auteur, n’hésitez pas à visiter son site officiel. ou rejoignez ses suiveurs sur Twitter.
Le complexe d’Eden Bellwether, un livre de Benjamin Wood.